En écho à celle de Paul Guillaume, dont la collection constitue le cœur du musée de l’Orangerie, la trajectoire parisienne du marchand allemand Heinz Berggruen invite à se pencher sur les collections de marchands. Des spécialistes du collectionnisme moderne replaceront son exemple dans un ensemble plus vaste et se demanderont ce qu’elles ont de spécifique, pourquoi les marchands ont le souci de voir pérennisées leurs collections et comment présenter au public des musées les collections de marchands. 

Une lecture d’extraits de l’autobiographie de Heinz Berggruen J’étais mon meilleur client. Souvenir d’un marchand d’art (Paris, Éd. L’Arche, 1997) sera proposée à l’occasion de cette journée d’étude organisée en partenariat avec le musée de l’Orangerie. Programme détaillé à venir.