Table ronde autour de l’ouvrage collectif La volonté de bonheur. Max Lingner dans son contexte. L’art et la politique en France entre 1929 et 1949, coédité par Thomas Flierl et Angelika Weissbach (Heidelberg, arthistoricum.net, 2024, en français et en allemand). 

Cet ouvrage collectif réunit des textes de chercheurs et chercheuses allemand·es et français·es dans lesquels la biographie du peintre et dessinateur de presse Max Lingner (1888-1959) est mise en relation avec la recherche actuelle sur l’histoire de l’art, de la politique et de la culture en France dans l’entre-deux-guerres. La « volonté de bonheur » (Wille zum Glück) qui donne son titre à l’ouvrage représente les débuts du Front populaire en 1936 et la motivation de Max Lingner.

En présence de Thomas Flierl, président de la fondation Max Lingner, Samuel Dégardin, historien spécialiste de l’illustrateur et graveur Frans Masereel, Eric Lafon, directeur du musée de l’Histoire vivante à Montreuil, Angelika Weißbach, historienne de l’art et membre du conseil de la fondation Max Lingner, Peter Geimer, directeur du DFK Paris, et Jakob Vogel (modérateur), professeur d’histoire de l’Europe des XIX^e-XX^e siècles, Sciences Po Paris.